S’il est difficile de se passer totalement de viande qui apporte des protéines essentielles à notre organisme, de plus en plus d’experts estiment qu’il est temps de changer nos habitudes alimentaires et d’en réduire sa consommation. Différentes raisons sont avancées en fonction des études récentes effectuées par des organismes indépendants.

Zoom sur les raisons qui incitent les spécialistes à freiner la consommation de viande. Zoom également sur les alternatives possibles permettant à notre corps d’obtenir les apports essentiels pour maintenir une bonne santé.

En fait, il y a 3 types de viandes : la viande rouge, la viande blanche et la viande noire. La viande rouge regroupe la viande de bœuf, viande de veau, viande de porc, chèvre ou agneau. La viande blanche comprend celle des volailles ou du lapin.

Une question essentielle de santé

Une étude récente qui avait fait la une d’un journal TV de portée nationale avait fait grand bruit : une augmentation de la consommation de viandes rouges braisées entrainerait la probabilité d’obtenir un cancer. Ce reportage qui a attiré l’ire des grands éleveurs de bétails montrait en effet que les grands consommateurs de viande étaient plus enclins à tomber malade du cancer avec des conséquences parfois dramatiques.

Outre le cancer, d’autres études montrent que les protéines animales prises en trop grande quantité provoquent des maladies cardio-vasculaires. Elles engendrent aussi des risques d’arrêt cardiaque. Ces études confirment les risques encourus par les sportifs de haut niveau qui prennent des gélules concentrées en protéines animales.
Réduire la viande que l’on consomme par une alimentation plus variée et riche en protéines végétales apparait donc comme une question de santé publique. Les amandes, le seitan et les lentilles sont des compléments alimentaires. Ils peuvent remplacer en grande partie notre besoin en consommation de viandes.

Une question environnementale de plus en plus importante

La réduction de sa consommation de viandes est également une question environnementale évidente : l’élevage intensif comme celui des ovins ou des bovins nécessite beaucoup d’eau et beaucoup de céréales. Ces élevages rejettent énormément de CO2 et d’autres gaz polluants dans l’atmosphère, contribuant ainsi au réchauffement climatique.

De plus, ces élevages et les exploitations agricoles pour les ravitailler rejettent dans la nappe phréatique beaucoup d’azote. Or, ce dernier est dangereux pour la santé et l’environnement. Des sols deviennent ainsi impropres et perturbent tout l’écosystème aux alentours.
Enfin, l’exploitation de fermes animales nécessite de l’espace et bien souvent, les bois et les forêts en font les frais. Les cultures sur brûlis et les incendies criminels que l’on observe en forêt amazonienne ou tropicale en Afrique Centrale résultent de l’élevage qui devient de plus en plus intensif.
Le rééquilibrage alimentaire apparait donc ici comme une question de salut publique, partout sur la planète. Il doit être sensibilisé dès le plus jeune âge. La formation de Navae s’étalant sur 12 semaines fait partie de ces méthodes de sensibilisation pour obtenir un bon rééquilibrage alimentaire.
Cette formation permet également d’en diminuer sa consommation tout en mangeant ce qui est nécessaire pour le fonctionnement de notre corps. Par ailleurs, en suivant une formation en médecine alternative, vous pourrez renforcer vos connaissances sur les méfaits de la viande.